
Duo gagnant |
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Dans le pays du Vignoble nantais, Virginie et Samuel Berringer gèrent avec succès deux magasins Proxi en milieu rural. Leur secret ?
Une organisation rigoureuse, une répartition efficace des tâches et une équipe de confiance. Leurs commerces, ouverts 7j/7, répondent aux attentes des habitants en offrant un service de proximité et une sélection de produits de qualité. |
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Proxi
Place de l’Étang,
44690 La Haye-Fouassière
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Reprise depuis 2021 |
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Surface de vente :
200 m²
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du lundi au vendredi
de 8h à 19h30,
le samedi de 9h à 19h30, et le dimanche de 9h à 12h30. |
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Clients/jour :
250 |
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Panier moyen/jour :
13,90 €
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Proxi
26B Rue du Surchaud,
44190 Saint-Hilaire-de-Clisson |
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Reprise depuis le 10 janvier 2025 |
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Surface de vente :
165 m²
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du lundi au vendredi
de 8h à 13h30 et de 15h30 à 19h30,
le samedi de 9h à 13h30 et de 15h30 à 19h30,
le dimanche de 9h à 12h30. |
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Clients/jour :
150 |
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Panier moyen/jour :
11,98 €
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Virginie et son mari Samuel ont toujours travaillé en duo. En 2021, ils dirigent déjà un restaurant à La Haye-Fouassière lorsqu’ils reprennent la gestion du magasin Proxi de la même commune. « J’ai rapidement voulu un deuxième magasin », confie Virginie. L’opportunité se présente lorsque le Cocci Market de Saint-Hilaire-de-Clisson est placé en liquidation judiciaire. Saisissant cette chance, le couple revend son restaurant et se lance dans cette nouvelle aventure en ouvrant leur second magasin.
Désormais, Samuel travaille à temps plein sur ce dernier, qui n’a pas encore de salarié. Tandis que Virginie, elle, partage son temps entre le premier et la gestion globale des deux commerces (administratif, marketing, ressources humaines, etc.) « Maintenant, on est presque concurrents », ironise la jeune femme. En effet, les deux supérettes sont situées à 20 minutes de voitures seulement. C’est essentiel pour le couple, qui tient à entretenir une relation de proximité avec ses habitués.
Bien que proches, ces deux magasins attirent des consommateurs différents. À Saint-Hilaire-de-Clisson, la clientèle est plus rurale et plus âgée que dans l’autre commune. Le couple a donc orienté sa sélection vers des produits plus traditionnels (charcuterie locale entre autres…) et de petits conditionnements. « Il faut bien faire la différence entre les deux magasins et s’adapter aux clients », insiste Virginie. Les deux entités sont des sociétés différentes, il faut alors tout séparer, de la livraison à la facturation.
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« Pour l’ouverture du deuxième magasin, cela m’a beaucoup aidé d’en avoir déjà un.»
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Cela ne signifie pas pour autant qu'il faut tout recommencer à chaque reprise de Proxi.
« Pour l’ouverture du deuxième magasin, cela m’a beaucoup aidée d’en avoir déjà un. C’est un gain de temps phénoménal : on a pu ouvrir en moins de deux mois. On connaissait déjà les fournisseurs, les prestataires, c'est presque du clé en main », raconte Virginie. La dirigeante affirme qu’il est primordial d’être entouré d’une équipe de confiance. « Je n’aurais jamais pu ouvrir de deuxième magasin si je n’avais pas des employés supers, et un premier magasin qui tourne bien », dit-elle, en avouant déjà penser à en ouvrir d’autres.
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